ALEXANDRA TILMAN
Recherche Création
RÉALISATIONS
Cadences 37'
Réalisation et image : Alexandra Tilman.
Montage : Aurélien Manya.
Son : Jocelyn Robert.
Version originale : Français.
sous-titres : Anglais.
France/ 2014/ 37mnn, Couleur, HD
Un film de thèse en sociologie visuelle, Centre Pierre Naville, UEVE Paris-Saclay.
Réalisé avec le soutien de la SCAM (brouillon d'un rêve) et l'Aide à la Recherche Innovante de L'UEVE.
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Special screening selection à l’Ethnofilm festival of Athen, 2016
Sélection officielle du FID, Festival International de Cinéma de Marseille, 2015
Film d’ouverture du congrès international de l’IVSA (international visual sociology association), Pittsburgh, USA, 2014
"Du singulier au pluriel, du père à son fils, d’une entreprise aux ouvriers licenciés, d'une fête à une autre, dans les années 90, la décadence est celle des emplois, la démesure vient avec la techno, les free parties s’improvisent dans chaque espace déserté. Le film d’Alexandra Tilman témoigne de ces situations sans céder à d’évidentes fascinations, le recul donne un tel point de vue distribué."
Gille Grand, programmateur du FID festival international de cinéma de Marseille, catégorie des écrans parallèles.
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From singular to plural, from a father to his son, from a factory to laid-off workers, from a resident in a urban wasteland, cadences relate the fathers’ work or the sons’ music. Le Havre in the 1990s : decadence lies in the job market, outrageousness comes from techno music, rave parties materialize in every deserted place. Alexandra Tilman’s film depicts these situations without giving in to obvious fascinations, her perspective offering a mosaic-like viewpoint.

extract of Cadences
Le Havre, ville de tradition ouvrière et maritime, est désormais touchée par la désindustrialisation… Les usines laissent progressivement la place à des friches industrielles. Les bruits mécaniques, les distorsions électriques et la basse répétitive de la Noise et de la Techno entrent alors en résonance avec l’histoire industrielle en déclin… Les free parties réinvestissent clandestinement les lieux abandonnés par la production.

Ici le temps s'arrête
Travail en cours de réalisation
Réalisation: Alexandra & Hélène Tilman
Image et photographie: Hélène Tilman
Son et montage: Alexandra Tilman
Au coeur de la Dordogne, le monastère de Vauclaire vieux de cinq siècles, devient un asile d'aliénés, puis prend le nom d'hôpital psychiatrique. Ici le temps s'arrête, et les vies continuent. Différemment, enfermées, médicamentées, traitées. Le temps d'une parenthèse ou de toute une existence.
Vidéos, photographies, textes et créations sonores composent ce projet d'installation soutenu par la Drac Région Nouvelle Aquitaine, le laboratoire de recherche Arts et Sciences de l'Art de Liège (Belgique) ainsi que la résidence d'Artiste de l'association Zapart du CHS Vauclaire.